C’est bien long…
Et surtout déprimant quand on voit le temps qu’il fait ce mois-ci.
Un peu en panne d’inspiration en ce moment et trop occupé par les obligations professionnelles, je peine à alimenter cet espace avec des chroniques. Pourtant, je parlerai très bientôt de Salt River de James Sallis et de Y de Serge Quadruppani. Des romans très différents mais qui ont en commun une voix, une patte, une écriture. Des romans de vrais romanciers qui proposent quelque chose de différent, qui prennent des risques et qui nous changent des productions, certes souvent intéressantes, mais parfois trop balisées. On en reparle dès la semaine prochaine. Promis…
En attendant, un petit salut au jeune couple de Sinner Sinners qui vient de s’envoler pour Los Angeles, histoire d’essayer de faire de leur rock and rollesque rêve américain une réalité intangible. Evidemment, ils nous manqueront beaucoup ici mais, comme ils l’ont dit eux-mêmes, ils repasseront chez nous cet automne. En tous cas, on a hâte de constater sur pièce ce que le régime californien produira sur leur musique.
On vous donne un petit exemple des potentialités de ce groupe qui verse dans l’horror punk, le garage goth’ parfois. Du rock noir quoi…
J’aime beaucoup ces deux auteurs..
Moi aussi…d’où le temps un peu long que je prends pour écrire sur eux…